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⚡ Fecafoot : une élection verrouillée, un football confisqué ?

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La commission électorale de la Fecafoot a tranché : Samuel Eto’o est le seul candidat retenu pour la présidence. Ses concurrents ont été éliminés pour « non-conformité » de leurs dossiers. Résultat : une élection transformée en plébiscite, où le président sortant se retrouve face à lui-même.  


🚫 L’élimination des rivaux

Les figures qui espéraient défier Eto’o — comme Ngoon Mbeleck — ont vu leurs candidatures rejetées. Les motifs invoqués par la commission paraissent techniques, mais les recalés dénoncent une manipulation orchestrée :

- Exclusions arbitraires décidées par une commission jugée trop proche d’Eto’o  

- Clubs fictifs créés pour gonfler son camp  

- Verrouillage du processus qui rend toute alternance impossible  


Pour les opposants, il ne s’agit plus d’une élection, mais d’une confiscation du pouvoir.


🔥 Les réactions indignées

Les candidats évincés ne mâchent pas leurs mots :

- Ils parlent d’une « mascarade électorale » et d’un « hold-up institutionnel ».  

- Certains menacent de saisir la CAF et la FIFA pour dénoncer une élection truquée.  

- D’autres appellent le gouvernement à intervenir pour « sauver le football camerounais ».  


Le ton est grave : l’élection est perçue comme une crise de légitimité qui dépasse le simple cadre sportif.


🏛️ La défense de la Fecafoot

Face à la tempête, la Fecafoot campe sur sa position :

- Les candidatures rejetées ne respectaient pas les statuts.  

- La commission électorale a agi « en toute légalité ».  

- Les accusations de manipulation sont qualifiées de « calomnies ».  


En clair, l’instance balaie les critiques et affirme que le processus est régulier et incontestable.


🌍 Un enjeu qui dépasse le terrain


Cette élection cristallise les tensions entre :

- Eto’o et ses rivaux, qui dénoncent une confiscation du pouvoir  

- La Fecafoot et le ministère des Sports, engagé dans un bras de fer institutionnel  

- Le Cameroun et les instances internationales, qui pourraient être saisies  


Au final, c’est l’image du football camerounais qui est en jeu : démocratie interne ou verrouillage autoritaire ?


Vers une autre crise post électorale ?

L’élection à la Fecafoot ressemble moins à un scrutin qu’à une mise en scène politique. Samuel Eto’o, seul en lice, incarne un pouvoir verrouillé, tandis que ses adversaires crient au scandale. La réponse sèche de la Fecafoot ne fait qu’alimenter la suspicion. Dans ce climat, le 29 novembre pourrait marquer non pas une victoire sportive, mais une fracture institutionnelle dont le football camerounais sortira affaibli.  


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👉 Ndongo, vu ton goût pour provoquer le débat public, tu pourrais titrer cette tribune :  

« Eto’o face à lui-même : démocratie confisquée ou légitimité incontestable ? »  


Veux-tu que je pousse encore plus loin en comparant cette élection aux pratiques politiques camerounaises, pour accentuer le parallèle entre sport et pouvoir ?

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