Le 30 juillet 2025, un scandale de mœurs a éclaté au sein de la police camerounaise, secouant l’opinion publique. Des vidéos à caractère sexuel, tournées dans des locaux officiels et impliquant des hauts responsables, ont été diffusées sur les réseaux sociaux. L’officière de police Christelle Eboa, identifiée dans plusieurs séquences explicites, se retrouve au cœur de cette affaire.
Les vidéos, filmées en uniforme et dans un cadre professionnel, ont provoqué une onde de choc. Le Commissaire Divisionnaire Josué Ossomo, Délégué Régional du Centre, est soupçonné d’avoir lui-même enregistré certaines séquences. La hiérarchie policière a réagi rapidement : les deux officiers ont été suspendus, et une enquête disciplinaire est en cours.
Face à la tempête médiatique, une déclaration circule sur les réseaux sociaux, présentée comme étant celle de Christelle Eboa. Dans ce message, elle nie toute orientation homosexuelle et accuse un supérieur hiérarchique de harcèlement et de vengeance. Elle écrit notamment :
« Tout ce qui se dit sur moi est une mascarade montée de toute pièce par l’un de mes supérieurs hiérarchiques qui me harcèle depuis un bon moment. […] Par respect pour mon époux et vu mes convictions
Cependant, l’authenticité du profil à l’origine de cette publication n’a pas été confirmée. Plusieurs comptes portant le nom « Christelle Eboa » existent sur les réseaux sociaux, rendant difficile l’identification formelle de l’auteure réelle du message. Cette incertitude invite à la prudence dans l’interprétation de ses propos.
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