Congo Brazzaville, des commerces et des propriétés appartenant à des camerounais attaqués par les populations locales.

 

Depuis la journée du dimanche 14 avril, les camerounais de la ville congolaise de Ouesso vivent dans la terreur.

En effet, des commerces et des biens appartenant aux camerounais ont été vandalisés dans cette ville frontalière où vit une forte communautaire camerounaise.

À l’origine une affaire d’enlèvement et de viol.

 À l’origine de cette flambée de violence xénophobe, une sordide affaire d’enlèvement d’une fille et de demande de rançon dont l’un des ravisseurs serait de nationalité camerounaise.

Il est à noter que l’habitude d’accuser les camerounais des divers crimes commis est une habitude solides établi dans plusieurs pays. Elle est notamment encouragée par le manque de réaction des autorités camerounaises et leur démission vis-à-vis de leur obligation à défendre leur citoyens

L’étrange silence des autorités camerounaises.

Des attaques xénophobes contre les camerounais en zone CEMAC, c’est pas un fait nouveau. Bien au contraire ces épisodes de massacres et de passage à tabac des camerounais sont plus que récurrents même si jusqu’ici le Gabon et la Guinée Équatoriale sont les seuls à s’être souvent distingués par ces déferlantes de haine d’une autre époque.

Pour le moment aucune communication officielle du gouvernement camerounais qui ne semble même pas être au courant de cette réalité

Il faut croire que ce laxisme des autorités camerounaises a inspiré les congolais à imiter l’exemples des equato Guineens et des Gabonais. Il faut craindre d’ailleurs que cette culture d’accuser les camerounais